« Je me suis tellement dévêtu de mon être profond, que chez moi, exister c’est se vêtir ».
Fernando Pessoa, Fragments d’un voyage immobile, Rivages Poche, 1990, p. 107.
« Je me suis tellement dévêtu de mon être profond, que chez moi, exister c’est se vêtir ».
Fernando Pessoa, Fragments d’un voyage immobile, Rivages Poche, 1990, p. 107.