« Tu m’es si proche que je ne puis t’écrire, tu es dans l’air de cette chambre, et parfois seulement, penché sur ton portrait, je compare ta présence invisible à l’admirable vol de tes sourcils dans le grave ciel de ton visage ».
Rainer Maria Rilke, Correspondances III, Ed. Seuil, 1976 p. 290.